DÉCLARATIONS D'HOMMES POLITIQUES SUR SI MOHAMMED KHATTAB
BENKHEDDA BENYOUCEF : (Ex-Président du G.P.R.A.) « Si KHATTAB était, un homme dynamique, volontaire. J'avais déjà entendu parler de lui. de ses dons, de son engagement et de son patriotisme avant de le connaître au Maroc. Moi-même j'ignore une grande partie de son action vu le cloisonnement qui régnait...».
BOUALEM BAKI : (Ex-Ministre des affaires religieuses) : « Si KHATTAB n'appartenait pas seulement à sa famille, il appartenait à nous tous...».
BOUMEDIENNE : « L'Algérie vous sera à jamais reconnaissante pour ce que vous avez fait pour elle. Le peuple algérien n'oubliera pas... ».
BOUSSOUF : « Qui peut oublier Si Mohammed KHATTAB. Pour le Maghreb il aurait tout donné. On a perdu un pilier de la Révolution».
CHERKAOUI (Ambassadeur du Maroc à Paris, Ancien Ministre) — « On a perdu l'homme qui a réalisé le Maghreb arabe. Beaucoup d'hommes d'État du Maghreb lui sont redevables».
CHEIKH BACH1R EL IBRAHIMI - «C'est un homme d'une bienfaisance inégalée. Sa fortune était au service des sujets d'Allah, des services publics de sa communauté, de sa 2e patrie en guise de reconnaissance, de sa 1e patrie en commençant par ses proches et amis d'enfance et en finissant par les projets de bienfaisance ».
COLONEL OUAMRANE — (Ex-Chef de la Wilaya IV, membre du G.P.R.A.)
— « Le regretté Si Mohammed a dissipé une grande partie de sa fortune pour la libération nationale (bateaux d'armes, fermes mises à la disposition de l'A.L.N., dons, défense et protection des intérêts supérieurs algériens au Maroc».
Dr KHATIB : (Responsable de l'Armée de Libération Marocaine, Ex-Ministre)
— «C'était une personnalité politique de haut niveau. Très introduit dans tous les milieux. A joué un très grand rôle dans la construction du Maghreb».
FERHAT ABBAS:« L'Algérie a perdu en lui un grand animateur de la guerre de libération... Si Mohammed KHATTAB fut particulièrement agissant et très précieux... Sur le plan de la logistique et du déplacement des armes, son concours fut déterminant... ».
JACQUES BERQUE : «J'étais administrateur à Had Kourt. J'ai connu Si Mohammed. Il était généreux, volontaire au travail, opiniâtre et inscrit sur la liste rouge en tant que nationaliste notoire».
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