

N'était-elle pas qualifiée à l'ère chrétienne de « civitas splendissima »?... qui se traduit par <
Une grande variété topographique ayant pour fond une myriade de montagnes majestueuses et de plages qui se suivent et ne se ressemblent pas, de sable fin, boisées de galets, saupoudrés d'îlots. Le tout agrémenté de fabuleuses pépites cachées çà et là. Autant d'atouts valaient bien un ouvrage qui met à l'honneur l'intimité de cette ville et qui restitue, autant que faire se peut, les richesses de l'une des plus belles régions d'Algérie.
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