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Zemenzer Mohamed Noureddine - De la lutte armée dans les rues d’Alger aux combats dans les djebels de l’Aurès

Zemenzer Mohamed Noureddine - De la lutte armée dans les rues d’Alger aux combats dans les djebels de l’Aurès


Prix : 800 (DA) - 8 €


Zemenzer Mohamed Nourreddine, s`est engagé, très jeune, dans une lutte irréductible pour la libération de son pays, l'Algérie. Un itinéraire extraordinaire qui révèle ses actions au sein des combattants de la zone autonome d'Alger (Z.A.A) puis dans les rangs des maquisards de l'A.L.N. en Wilaya 1 des Aurès.
Il écrit un livre poignant sur des événements vécus par tout un peuple dans un drame... Un génocide qui ne veut pas dire son nom, un ouragan d'une violence inouïe, un horrible cimetière depuis la nuit des temps, 1830.
Zemenzer Mohamed Nourreddine, fils d'Abdelkader et Khedidja Hattab est né le 20 août 1932 au Bâtiment C des HLM. du boulevard de Verdan (Drodge Sidi Abderahme), Casbah d'Alger. Des son jeune âge, il est « placé » dans une école maternelle située place Zévaco à El-Harrach avant de fréquenter l'école Fateh, rampe Vallée, une école de la rue de la Révolution à Bab El Oued et le collège professionnel du Champ de manoeuvre, Chauzy. En 1949, c'est muni de son C.A.P. qu'il se retrouve a l'âge de 17 ans a Batna où il est employé dans les services techniques des ponts et chaussées.
En 1951, âgé de 19 ans, Nourreddine, pour échapper a un départ forcé vers l'Indo-chine, s'engage dans l'armée française le mois d'Octobre pour accomplir 2 ans au 9ème régiment des chasseurs d`Afrique, un régiment de "Arme Blindée'' avec ses chars, ses automitrailleuses, ses half-track, en garnison a Batna 6 mois plus tard, après un stage d'instruction au peloton d'élèves sous-officier, il accédera au grade de maréchal des logis (M.D.L) équivalent au grade de sergent dans l'infanterie.
En 1953, c'est en fréquentant de jeunes appelés originaires de Sétif, de Guelma, qui ont vécu les douloureux événements, les massacres du mois de Mai 1945 qu'il prend conscience de son appartenance à jamais a un peuple qui continuera à se battre. Agé de 21 ans, il refusera de prolonger son engagement et après un court séjour a Batna il rejoint sa famille à Alger le mois de juin 1954, 4 mois seulement avant le déclenchement de la lutte de libération le 1er Novembre où il participera activement de mars 1955 à mars 1958 à la Bataille d'Alger. Recherché et condamné à mort par contumace, il retournera à Batna pour rejoindre le maquis dans les Aurès.
 


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