« Baya est la figure du défi, le serment d'un renouveau qui porte une nouvelle dignité. En profond désaccord avec un monde d'injustice et de fatalité, où les jeux semblent définitivement faits, Baya rejette tous les ordres castrateurs : le nouveau comme l'ancien le premier parce qu'il plaide pour des valeurs passéistes où la survie de la tribu prime sur un certain sens de l'honneur ou du bonheur individuel. Baya refuse la survie au prix de la compromission et du déshonneur... »
TAHAR DJAOUT, janvier 1 993.
La Montagne de Baya vue par la presse algérienne
« La Montagne de Baya est un fabuleux hommage à la terre, à l'amour, et à l'algérianité. A travers Baya et les autres femmes que l'on voit participer physiquement aux combats contre l'envahisseur, et s'assumer, le cinéaste dénonce la régression incommensurable de la société au sein de laquelle le code de la famille est encore en vigueur. »
YOUCEF ZIREM, La Tribune du 11 novembre 1997.
« La Montagne de Baya est le symbole de toute une culture occultée durant des années. Ce film constitue aujourd'hui une fabuleuse image d'une société consacrant l'injustice. »
DJAMILA K., El Watan du 12 novembre 1997.
« Un concentré de talent et d'émotion (...). Une oeuvre riche et dense qui ne peut être regardée comme une simple page reconstituée de l'histoire de l'Algérie... »
H. S., Liberté du 13 novembre 1997.
« C'est un puissant poème, un hymne à la femme algérienne, comme être humain et combattante. Dans la lignée et la continuité du combat de la Kahéna, de Fatma N'Soumer, et dans la genèse des héroïnes de notre guerre de Libération et des combattantes d'aujourd'hui contre le monstre intégriste.... »
EL HACHEMI CHERIR cinéaste. Le Matin du 19 novembre 1997.
« La Montagne de Baya est une légende, un mythe ou peut-être une histoire, lourde de sens, ce fut un véritable chef-d'oeuvre. »
MERIEM A., Le Matin, semaine du 13 au 19 novembre 1997
Votre panier : | Fermer |